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Libérer le désir et le goût de l’autre avec les séminaires intensifs

Ou Comment la clarification du mental vient approfondir le Tantra

Je souhaite vous partager dans ce petit article comment les processus de dissolution des charges mentales tels que nous les pratiquons dans les séminaires intensifs « Qui suis-je ? » contribuent concrètement à améliorer durablement et profondément la qualité de nos relations avec les autres. Quels sont les impacts de la clarification du mental dans notre vie et plus spécifiquement dans le champ de nos relations amoureuses, amicales, professionnelles, familiales ? Comment ces processus intensifs nous aident-ils à surmonter les barrières relationnelles qui nous isolent les uns des autres et à favoriser des relations authentiques, profondes, intenses et épanouissantes ?

Nous pourrions définir le mental comme l’ensemble des traces laissées dans notre psychisme par des actes et communications inachevés par le passé, c’est à dire des mouvements intérieurs, des intentions et décisions qui ne se sont pas déroulés jusqu’à leur terme et se sont agrégés en systèmes de défense et en réactivités. Ces traces agissent sur notre psychisme comme des listes de tâches, d’obligations, de projections, d’automatismes, de croyances et jugements sur soi, sur l’autre et sur le monde qui viennent colorer nos relations de charges émotionnelles. Notre mental est ainsi presque constamment encombrés par cette multitude de pensées, d’émotions, et de croyances, produits de nos expériences passées et de notre conditionnement social. Ces éléments mentaux façonnent notre perception de nous-mêmes et des autres, et peuvent nous conduire à adopter une posture défensive dans nos relations, motivée par la peur du rejet, de l’agression, de l’échec… Ces mémoires, lorsqu’elles ne sont pas clarifiées, dressent un mur invisible entre nous et le monde extérieur, nous empêchant de nous engager pleinement et authentiquement dans nos interactions et dans le jeu de la vie.

Ainsi, du fait de toutes ces mémoires développées et accumulées au fil des relations dysfonctionnelles dans des contextes où le critère de survie biologique a primé sur toute autre considération, nous avons développé une méfiance, voire une défiance de l’autre. Les relations entre nous et les autres sont devenues si complexes, tissées d’enjeux, de non-dits et de stratégies indirectes, que nous avons perdu la possibilité et la joie d’être directement en lien avec eux.

Pour donner une image de ce que pourrait être cette qualité d’ouverture originelle libérée des obstacles traumatiques, il suffit de contempler les yeux de certains bébés ou animaux de compagnie lorsque nous y percevons cette ouverture et cette confiance qui vient nous toucher si profondément en nous rappelant à la merveille d’une expérience directe de l’amour. Le regard est alors pure ouverture, disponibilité, à la fois offrande de soi et accueil de l’offrande de l’autre.

Or si ces charges mentales peuvent exercer un pouvoir sur nous c’est que nous nous identifions à elles et que nous ne sommes pas en mesure de prendre une distance de témoin vis-à-vis d’elles. Pour prendre un exemple, ce n’est pas la même chose d’être persuadé que tous les chiens sont méchants ou de connaître sa propre peur de l’animal du fait d’un traumatisme passé. Dans le premier cas je ne mets pas en doute la qualité que je projette sur mon objet d’appréhension, dans le second je prends la responsabilité de cette charge. L’une des manières de clarifier le mental va ainsi consister à partir à la découverte de l’ensemble de ces charges à partir d’une intention de faire l’expérience directe de qui je suis.

Le processus se fait par le biais d’un questionnement en face à face (en dyades) à partir d’une instruction qui va être répétée encore et encore, par exemple l’instruction « Dis-moi qui tu es. ». La personne qui va répondre à l’instruction va aller explorer et contempler ce qui surgit, avant de le communiquer à son partenaire. Le protocole de communication va ainsi permettre de boucler des cycles d’actions et de communications inachevées, va ouvrir de l’espace de conscience et nous permettre progressivement de prendre la responsabilité de nos biais. Et la prise de responsabilité est exactement ce qui nous libère de la culpabilité et de la honte, qui sont les deux émotions caractéristiques des traumatismes et plus largement des charges karmiques.

Ainsi que l’a semble-t-il exprimé le Christ : « La Vérité vous rendra libre. »

Les séminaires intensifs « Qui suis-je? » proposent un cadre privilégié pour mettre en oeuvre ce processus extraordinaire de manière continue plusieurs heures par jour (entre 10 et 18 heures par jour) et constituent un accélérateur prodigieux dans la quête d’une vie plus libre, joyeuse et connectée. Il s’agit d’une technique et d’un protocole merveilleux soutenant la dissolution de ces traces qui nous empêchent de nous ouvrir véritablement à autrui et de tisser des liens profonds et enrichissants. La clarification du mental mise en oeuvre dans les séminaires, se déroule donc comme une succession de dyades (deux individus face à face qui mettent en oeuvre la technique) et implique un processus d’introspection et de méditation, où l’on apprend à contempler et à communiquer nos pensées et émotions sans s’y attacher ou s’y identifier, avec une clarté et une profondeur de compréhension de soi et de l’autre grandissante. Au fur et à mesure que le mental se clarifie entre deux individus, s’ouvre la possibilité d’une rencontre directe de l’autre, une expérience de connexion et d’amour qui ne se produit qu’avec une extreme rareté dans le flux ed nos relations quotidiennes.

En contemplant notre esprit, nous découvrons la nature impermanente de nos peurs et insécurités. Nous apprenons à les voir pour ce qu’elles sont : des réactions conditionnées à certaines situations ou idées, plutôt que des vérités absolues sur notre capacité à nous connecter aux autres. Cette prise de conscience nous permet de répondre à ces peurs non pas avec évitement ou réaction excessive, mais avec compassion et curiosité, les examinant de manière plus objective et moins chargée émotionnellement. La pratique des dyades nous aide à reconnaître que nous ne sommes pas nos pensées ou nos peurs, mais plutôt les observateurs conscients de ces phénomènes. En développant une telle conscience, et en communiquant ces traces mentales pour ce qu’elles sont, nous commençons à détacher notre sentiment de soi de ces fluctuations mentales et émotionnelles, nous vidons eu sens propre notre champ mental et nous nous ouvrons à une la liberté plus vaste de choisir les états mentaux à travers lesquels nous souhaitons vivre et entrer en relation.

Une fois que nous avons commencé à dissoudre ces obstacles internes, nous nous trouvons naturellement plus ouverts et disponibles pour les autres. Sans le poids de nos peurs et insécurités habituelles, nous sommes plus aptes à écouter véritablement et à répondre avec empathie et authenticité. Cette ouverture conduit à une communication plus profonde et significative, posant les fondations pour des relations épanouissantes, respectueuses et aimantes. Avec un mental clarifié, nous sommes mieux équipés pour reconnaître et apprécier la valeur unique de chaque individu, ainsi que pour exprimer notre propre authenticité et prendre kla responsabilité de limites justes entre nous et l’autre, c’est-à-dire de limites qui prennent soin des deux parties. Cela favorise un environnement où la confiance et l’intimité peuvent fleurir. Nous devenons capables de créer des liens basés non sur la nécessité ou la peur, mais sur un désir partagé de connexion et de croissance. Ces relations, nourries par une compréhension et une acceptation mutuelles, sont intrinsèquement plus épanouissantes et résilientes.

A travers ce processus répété de nombreuses heures, comme un tamis qui va venir séparer la boue du mental de l’or de mon être véritable, je vais constater la dissolution des problèmes mentaux et accéder à une expérience directe de mon être et également de l’autre. Comme l’écrivait Wittgenstein dans le Tractatus «  La solution du problème de la vie, on la perçoit à la disparition de ce problème »

L’une des prises de conscience les plus transformatrices est celle que ce que je desire dans mon être profond c’est entrer en lien avec l’autre, que je veux le rencontrer , autant le recevoir dans son Soi essentiel que lui communiquer qui je suis moi-même dans mon Soi essentiel. Mon désir d’être en vie ici et maintenant est exactement le désir d’être en lien le plus direct possible avec l’autre. Je désire plus que tout ce lien d’amour, cette connexion directe avec le mystère de l’autre. Je comprends qu’en l’absence de ce désir de l’autre je ne serais pas en vie dans cette incarnation et sur cette terre dans ce corps et dans ce monde humain. Et l’autre qui est de la même essence que moi partage ce désir de me rencontrer et de tisser un lien avec moi. Ce que je suis et ce qu’est l’autre, sont deux des principaux thèmes que nous explorons spécifiquement lors de séminaires intensifs.

L’expérience de la clarification de que je suis et de ce qu’est l’autre va naturellement et progressivement déployer la conscience de nouvelles possibilités relationnelles. Au lieu de percevoir autrui comme un obstacle à mes désirs ou un moyen de les satisfaire, je vais le considérer comme un mystère à approfondir, une occasion de croissance et d’exploration d’un inconnu. Je vais sentir que c’est la Vie en moi qui cherche constamment à découvrir et expérimenter de nouveaux possibles, de nouvelles expériences, de nouvelles qualités de sensations, d’émotions, de connaissances… L’énergie pure de la Vie n’est pas une colonisation agressive du milieu, mais un élan, un désir de rencontrer et d’intégrer de nouveaux possibles dans la diversité des expériences singulières que me propose chaque autre. En nous rencontrant depuis cet espace partagé d’ouverture, toi et moi co-créons un lieu d’entente, une réalité partagée de plus en plus vaste, subtile et profonde. ET dans le même mouvement de découverte de l’autre nous déployons conjointement le champs de notre être vécu et manifesté en découvrant de nouvelles dimensions de nous-mêmes dans le miroir de chacun.

L’élan vers l’autre n’est plus nourri par le souci d’un manque, d’une défaillance, d’un besoin ou d’une frustration à combler, mais d’un excès de vie, d’une volonté de puissance au sens nietzschéen d’un désir d’être de plus en plus intensément en lien avec quelque chose qui nous dépasse et excède sans cesse nos limites. C’est un désir de communier et d’aimer à l’infini le divers singulier de tous ces autres qui se présentent à moi, qui partagent la même essence divine. C’est le sens de la traditionnelle salutation Namaste, qui bien plus qu’une formule de politesse new age sympathique et convenue, nous invite dans son intention première à faire l’expérience unitive de l’autre dans la relation.

C’est ma responsabilité et ma liberté de décider ou pas de m’ouvrir à ce mystère irréductible qu’est l’autre, qui en même temps qu’il échappera toujours à toutes tentatives de réduction est aussi mon semblable. C’est ma liberté de choisir le Oui ou le Non à l’autre. Or tant que les engrammes mentaux ne sont pas nettoyés, je ne vais pas faire l’expérience de cette liberté fondamentale, mais je vais vivre en termes de besoins et de limites. Au fur et à mesure que ces charges mentales se dissolvent, je vais renforcer la capacité de mon individu à aimer et à accueillir des champs d’expériences de plus en plus divers et vastes. CE qui n’était pas gérable à une époque enclenchait en moi des boucles de réactivités et de défense va progressivement se détendre et me permettre de découvrir de nouveaux espaces de clarté et de liberté.

Il me sera alors peut-être possible de reconnaître que c’est le désir de l’expérience de l’autre comme un autre moi qui préside à tous les mouvements de la Vie et de mon être essentiel, c’est à dire le goût de la rencontre de l’autre dans son essence. L’autre est la raison pour laquelle j’existe dans ce plan d’existence, c’est mon désir de lien qui maintient la réalité tangible et apparemment solide de cet univers, de ce corps, de ce monde, de ces objets.

C’est là l’expérience d l’amour, toi et moi ne faisons qu’un et dans le creuset de l’expérience de l’autre, cette intention de rencontrer l’autre d’individu à individu m’offre la possibilité de vivre l’expérience de l’unité avec cet autre, c’est l’union mystique, qui peut etre vécue à partir de tout objet, chaque objet étant en réalité une lmanbifestion d’un acte être qui s’écrase se çà moi à travers cet objet physique émotionnel ou mental.

Le gout de l’autre , c’est aussi la saveur, lorsque la relation devient intime, de la rencontre dans le corps physique, la communion sexuelle, ce qui est l’objet de certaines pratiques tantriques. Mais c’est seulement lorsque le mental est dissout ou écarté que la possibilité d’une rencontre directe de cœur à cœur est possible jusqu’aux niveau le plus dense de la manifestation. Les corps physiques et la communion sexuelle deviennent alors le creuset d’une authentique alchimie spirituelle au cœur de laquelle deux être divins choisissent de se rencontrer et de s’aimer.

C’est la raison pour laquelle les pratiques de conscience de la clarification est un complément essentiel de pratiques tantriques et énergétiques. Car sans ce travail de dégagement du mental, la plupart des élans vont être contaminés et encombrés de névroses et de traces karmiques. L’attirance ne sera pas un élan de célébration mais une pulsion de compensation d’une détresse sous-jacente. Sous prétexte d’une structure de tantra, le risque est alors grand que toute l’énergie soit récupérée et détournée vers les fonctionnements habituels de l’égo : agripper ce que je projette comme désirable ou plaisant, et rejeter ce que je projette comme frustrant ou inconfortable. . Je vais alors en réalité sous couvert d’une posture spirituelle renforcer mes conditionnements souffrants et instrumentaliser l’autre au lieu de le rencontrer. Comme nous y invitait Jung : « On ne peut voir la lumière sans l’ombre, on ne peut percevoir le silence sans le bruit, on ne peut atteindre la sagesse sans la folie. Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. mais ce travail est souvent désagréable, donc impopulaire ».

La clarification du mental telle que nous la pratiquons dans les séminaires intensifs « Qui suis-je ? » est donc un voyage extraordinaire vers la compréhension de notre nature véritable. La compréhension de cette Vérité nous libère des chaînes de nos peurs et insécurités, mais ouvre également la possibilité d’un chemin renouvelé vers des relations plus intenses, authentiques, riches et profondes. C’est le sadhana d’une vie plus connectée, où chaque relation devient l’opportunité d’une contemplation, d’un apprentissage et d’un partage et au cours duquel les multiples aspects du divin composent et révèlent l’unité d’une harmonie pré-établie.

Rencontrer autrui nécessite de l’humilité et de l’ouverture d’esprit. Cela signifie mettre de côté nos idées préconçues et nous ouvrir à la possibilité d’être surpris, déconcertés, émerveillés par l’inconnu. C’est un choix de s’ouvrir à cet étranger qu’est autrui. Mon corps envoie des messages, sous formes de paroles, pensées, émotions et perceptions. Il reçoit conjointement des messages des autres sous forme également de paroles, pensées, émotions et perceptions. Et le monde, la vie toute entière, apparaissent alors comme la résultante de cette danse et de cet entrelacement de toutes ces émanations qui se rencontrent et tissent la réalité, le tissu éphémère de la maya. Ainsi que l’écrivait Goethe à la fin du second Faust : « Tout l’éphémère n’est que symbole ».

A propos des séminaires intensifs

Ces séminaires sont une méthode de développement personnel et spirituel conçue pour accélérer le processus d’éveil et de réalisation de soi. Cette approche a été mise au point dans les années 1960, avec l’objectif de faciliter un accès direct à des états de conscience plus élevés et à une compréhension plus profonde de la vie et de soi-même.

Les séminaires intensifs sont structurés autour de la pratique de la contemplation et de la méditation, combinées à des exercices de communication et d’introspection en groupe. L’objectif est de permettre aux participants de transcender les limitations de l’ego et d’expérimenter un état d’unité avec tout ce qui est. Ces séminaires visent à provoquer des prises de conscience soudaines ou des réalisations profondes sur la nature de la réalité, souvent décrites comme des expériences d’éveil spirituel.

L’une des pratiques clés au cœur des séminaires intensifs est la technique de l’Enquête du Vrai Moi (Self Inquiry), où les participants se posent des questions fondamentales telles que « Qui suis-je ? » ou « Qu’est-ce que le vrai moi ? » dans un cadre structuré. Cette méthode encourage une exploration profonde des croyances, des pensées et des sentiments, permettant aux individus de dépasser les perceptions superficielles et d’atteindre des niveaux de conscience plus profonds.

Les séminaires intensifs ont été influents dans le mouvement plus large du développement personnel et spirituel, inspirant une variété de pratiques et de méthodologies similaires. Ils sont reconnus pour leur approche directe et intense, offrant aux participants des moyens concrets pour accélérer leur croissance personnelle et spirituelle.

En somme, les séminaires intensifs représentent une voie puissante vers la découverte de soi et l’éveil spirituel, mettant l’accent sur l’introspection, la méditation, et la communication authentique. Ils offrent un espace pour une transformation profonde, invitant à une exploration intérieure rigoureuse et à une ouverture du cœur à la vérité ultime de notre existence.

Les séminaires intensifs se centrent autour de l’exploration de questions fondamentales destinées à conduire les participants vers une compréhension plus profonde de leur véritable nature et de la réalité. Ces questions sont conçues pour déclencher des introspections profondes et des prises de conscience soudaines, guidant les individus vers une expérience directe de leur véritable essence au-delà des couches de l’ego et des constructions sociales. Voici les quatre questions principales souvent explorées dans ces séminaires :

  1. Qui suis-je ?Cette question vise à explorer l’identité au-delà des définitions conventionnelles et sociales, poussant les participants à réfléchir sur leur essence véritable, au-delà du moi physique et psychologique.
  2. Que suis-je ?Similaire à la première, mais allant plus loin dans l’introspection, cette question cherche à amener les participants à considérer leur nature fondamentale, souvent du point de vue de la conscience ou de l’être plutôt que des attributs ou rôles sociaux.
  3. Qu’est-ce que la vie ?Cette question invite à une réflexion sur l’essence de la vie elle-même. Elle encourage les participants à explorer les dimensions plus profondes et souvent mystiques de l’existence, questionnant la nature de la réalité, le flux de la création, et le rôle de la conscience dans l’expérience de la vie.
  4. Qu’est-ce qu’un autre ?Cette interrogation ouvre la voie à l’exploration des relations humaines et de la connexion entre les êtres. Elle incite à une compréhension plus profonde de l’interdépendance, de l’empathie, et de l’unité au-delà des séparations apparentes entre les individus. Cette question peut mener à une prise de conscience de l’unicité fondamentale de toute existence, où le soi et l’autre ne sont pas vus comme séparés, mais comme des expressions d’une même réalité universelle.

Ces questions sont conçues pour déclencher des réflexions profondes et des expériences d’éveil, menant les participants à des prises de conscience significatives sur eux-mêmes, sur la vie, et sur la nature de la réalité. Le processus, souvent intensif et émotionnellement chargé, utilise une combinaison de méditation, d’introspection, et de dialogue en groupe, créant un espace sécurisé pour l’exploration personnelle et spirituelle.

Chacune de ces questions sert de point de départ pour une exploration intérieure qui peut conduire à des expériences d’éveil ou à des réalisations spirituelles profondes. Le processus implique souvent une combinaison de méditation, d’introspection, et d’échange en groupe, où les participants partagent leurs découvertes et leurs expériences en réponse à ces questions. L’approche intensive et directe de ces séminaires vise à faciliter une transformation rapide et profonde, aidant les individus à se reconnecter avec leur essence la plus véritable et à vivre une vie plus alignée avec cette compréhension profonde.

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